Quantcast
Channel: toulouse – STOP Islamisme !
Viewing all 291 articles
Browse latest View live

Agressions de profs, menaces de mort, armes en circulation, des filles priées de raser les murs : le lycée Gallieni à Toulouse est en état de guerre

$
0
0

Des départs de feu chroniques, des agressions de professeurs, d’élèves, des menaces de mort, des armes en circulation et des filles priées de raser les murs… Voilà l’invraisemblable quotidien du lycée Gallieni, à Toulouse.

C’était juste avant les vacances de Noël 2017. Au lycée polyvalent Joseph-Gallieni, à Toulouse, où les violences font partie du quotidien, la tension était encore montée d’un cran. Une baston généralisée avait éclaté en cours d’espagnol. « Un gamin, à bout, a flanqué son poing dans la figure d’un des perturbateurs qui l’empêchaient de travailler depuis le début de l’année, raconte Fanny Guichard, professeur de physique-chimie. Ils lui sont tous tombés dessus. »

Une semaine plus tôt, c’était le proviseur qui était jeté de la cafétéria à coups de canettes pour avoir voulu éteindre un début d’incendie. « Là, on s’est dit ce n’est plus possible. S’ils s’en prennent même à la plus haute autorité de l’école, on est foutus! »

« A Gallieni, la République a mis un genou à terre, martèle Mathieu Perion, professeur de génie mécanique et correspondant local du SNUEP-FSU. Nous lançons un cri d’alarme. Il faut sauver notre lycée. Il y a urgence! Si on ne fait rien, on va compter les morts! » Les mots sont forts, les phrases chocs, le débit rapide, les yeux rougis par la fatigue. Les exactions que tous décrivent tour à tour sont essentiellement commises par une centaine d’élèves totalement ingérables, expliquent-ils.

Les faits qu’ils relatent avec force précisions et détails sont impensables, inimaginables, inacceptables dans une école de la République. Mais face à cela, l’administration temporise. « Nous prenons très au sérieux le ressenti des professeurs (sic!) », nous a-t-on rétorqué à l’académie de Toulouse. Des armes? « Pas à notre connaissance. »

Et pourtant… Un rapport interne du Comité d’hygiène, de sécurité et des conditions de travail académique (CHSCTA), que L’Express a pu se procurer en exclusivité, contredit totalement la version officielle. Il évoque « des élèves en possession d’armes », « une agression d’un fils sur sa mère en fin de réunion parents-profs », « une somme de 50000 euros budgétée pour les dégradations depuis septembre 2017 », « 95% des personnes interrogées disant avoir subi des violences », « un curseur de l’inacceptable sans cesse à la hausse »…

« Ne jouons pas sur les mots! s’écrie Mathieu Perion. Le rectorat nous parle d’élèves ‘difficiles’, mais, pour nous, il s’agit bien de délinquants, en garde à vue ou pourchassés par la BAC le week-end mais envoyés chez nous la semaine. Comme si, dans l’enceinte du lycée, nous n’avions par miracle plus affaire aux mêmes jeunes! » Toujours d’après le rapport du CHSCTA, de 60 à 80 élèves seraient « en suivi judiciaire », l’un d’entre eux « en attente de comparution devant la cour d’assises », et certains « interdits de séjour sur Paris », donc placés ici dans le cadre de mesure d’éloignement.

La scolarité de certains serait parfois interrompue par des séjours en prison. « On les voit partir puis revenir… Quand ils réintègrent le lycée, ils sont parfois perçus comme des héros ou des exemples à suivre », poursuit un prof. Peu à peu, les codes de la cité se sont reproduits dans les couloirs. Les trafics de drogue, les liasses de billets qui circulent, les rackets et les menaces diverses. « La semaine dernière, l’un d’eux m’a dit: ‘Combien tu veux que je te donne pour que tu nous foutes la paix?' », affirme encore un enseignant.

On soupçonne également la présence de quelques cas de radicalisation ou de candidats au djihad. « Ce type d’information ne nous a pas été remonté », répond Xavier Le Gall, secrétaire général de l’académie de Toulouse.

L’année dernière, pourtant, la section des conducteurs routiers a modifié sa politique d’admission -juste après l’attentat de Nice- pour revenir à un recrutement sur dossier. « On s’est battus pour ça, insiste Mathieu Perion. Quand vous avez un jeune qui roule à 80 kilomètres à l’heure sur la rocade en balançant, en riant: ‘Et là, si je tournais le volant d’un coup, qu’est-ce que ça ferait?’, franchement, vous avez froid dans le dos! » Selon certains profs, pas de doute: le changement du dispositif est dû à des mesures évidentes de sécurité, quand l’Académie, elle, met en avant « un seul souci de mixité sociale ».

Les 97 filles de l’établissement, une petite minorité, font partie des « cibles » les plus à risques. « Les plus jolies sont victimes d’attouchements, les moins jolies subissent des insultes. Le mieux est d’être la plus transparente possible et de se fondre dans le décor », explique Virginie Sénoville, professeur de lettres et d’histoire-géo.

Anaïs*, 16 ans, crie sa révolte: « Même si c’est compliqué, je mets un point d’honneur à me maquiller, à rester féminine. Mais on me traite de ‘salope’ et de ‘pute’ en permanence, même devant les profs. » L’année dernière, lorsqu’elle était en seconde, elle a subi une tentative d’agression sexuelle. Trois garçons, qui s’étaient procuré le code des toilettes des filles, lui ont sauté dessus et l’ont plaquée contre le mur. « J’ai réussi à me dégager et à m’enfuir. Depuis, comme les autres filles, je ne m’y rends plus toute seule. »

Le collectif d’enseignants de Gallieni se dit, en revanche, totalement incompris par les instances locales de l’Education nationale. « Quand on évoque nos besoins de sécurité et nos missions de formation pour tous, eux parlent de ‘méthodes pédagogiques à revoir’! » insiste Fabien Bergès. Mercredi dernier, Jacques Caillaut, directeur académique des services de l’Education nationale (Dasen), venu assister à une réunion, a été accueilli sous les huées d’une partie du corps enseignant. (…)

A la fachosphère qui tente de récupérer le mouvement à coups de posts sur le Web « à vomir », et aux bien-pensants qui les accuseraient de faire le jeu des extrêmes en stigmatisant les élèves, leur réponse est claire:

L’Express

Merci à valdorf


Lycée Gallieni de Toulouse : Blanquer promet de « remettre la force du côté du droit »

$
0
0

Les enseignants de cet établissement professionnel, en proie à de nombreuses violences, lancent un appel à l’aide dans les colonnes de L’Express. Invité d’Europe 1, le ministre de l’Education annonce l’arrivée d’un personnel spécialisé.

Lycée Galliéni : des enseignantes terrorisées se font raccompagner sur le parking par des élèves

$
0
0
Enquête sur « un lycée en état de guerre » A travers ce titre martial, l’Express nous propose un dossier sur « la République qui abandonne les professeurs ». Et une plongée hallucinante dans le symbole même de cet abandon : le lycée Gallieni à Toulouse. Ce reportage est une valse à trois temps : d’abord le témoignage des professeurs outragés, […]

Toulouse (31) : une centaine de lycéens violents veulent imposer leur loi

$
0
0
Dans le lycée Gallieni de Toulouse (Haute-Garonne) les professeurs impuissants assistent à des violences quotidiennes de la part de jeunes élèves, qui tentent d’imposer leur loi. Le ministre de l’Éducation reconnaît un cas extrême et une situation inacceptable et l’État semble décidé de réagir.

Temporaire ou durable, la partition s’installe en France : retour à la féodalité et aux milices

$
0
0
Vous avez dit « Partition » ? C’est Trouduc l’Audacieux qui avait osé -révélé- cette formule alors même qu’il était encore président de notre République, dans un entretien avec des journalistes écrivant un livre sur lui. Nous avons ainsi appris qu’il était possible d’avoir l’idée d’écrire telle chose, et de le faire. Il faut bien être journaliste, aujourd’hui, […]

« À tout moment, quelqu’un peut nous frapper ou nous insulter » : une prof et une lycéenne témoignent des violences au lycée Gallieni de Toulouse

$
0
0

Les professeurs ont lancé un appel au secours face au climat qui règne dans cet établissement de 950 élèves.

« On est dans un lycée où on a peur. On ne sait pas ce qui va arriver. A tout moment, il y a quelqu’un qui peut arriver pour nous taper, nous insulter, nous critiquer… On ne sait pas. C’est vraiment de la peur », confie la lycéenne. « Oui, j’ai peur systématiquement qu’il y ait quelque chose qui dérape. Quand ils se battent, ils vont décrocher les extincteurs pour s’éclater la tête », confirme l’enseignante qui relate l’agression dont elle-même a été victime. « Elle traverse la classe, elle se jette sur moi, me colle contre le mur, m’attrape à la gorge et, avec l’autre main, me tire les cheveux et ne me lâche pas. Et là je me dis : ‘Elle va me tuer.' »

(…) France info

Fusillade mortelle à la burka : huit personnes en garde à vue à Toulouse

$
0
0
Fusillade mortelle à la burka : huit personnes en garde à vue à Toulouse

Le tireur avait agi en juillet 2017 « dissimulé à la vue de sa victime par le port d’une burka » et en utilisant « une poussette pour cacher son arme, vraisemblablement un fusil d’assaut », avait précisé le procureur de la République.

Huit personnes étaient en garde à vue vendredi à Toulouse dans l’affaire d’une fusillade mortelle perpétrée en juillet 2017 dans un quartier sensible de la ville rose par un auteur dissimulé sous une burka, a indiqué une source proche du dossier.

Huit gardés à vue présentés au parquet dans la journée. Les huit gardés à vue, parmi lesquels des femmes, devaient être présentés vendredi après-midi et soir au parquet de Toulouse, selon la même source. « On poursuit nos investigations » sur cette fusillade, au cours de laquelle un homme, condamné pour « trafic de stupéfiants, violences, vol aggravé et port d’arme », avait été tué et sept autres personnes blessées, indique-t-on de même source.

Un fusil d’assaut dissimulé par une poussette. L’attaque était survenue vers 21h30 le 3 juillet dans le quartier de la Reynerie, classé « zone urbaine sensible » et situé dans l’ensemble plus vaste du Mirail, dans le sud-ouest de Toulouse. L’auteur avait agi « dissimulé à la vue de sa victime par le port d’une burka » et en utilisant « une poussette pour cacher son arme, vraisemblablement un fusil d’assaut de type kalachnikov », avait précisé le procureur de la République. « Au moins trente tirs » d’une arme à feu automatique avaient été relevés. Le meurtrier avait ensuite pris la fuite à bord d’un deux-roues de forte cylindrée conduit par un complice.

« Le dossier est sensible ». On ignore si l’auteur des coups de feu figure parmi les personnes gardées à vue. « Le dossier est sensible, il est bien engagé mais il n’est pas terminé », a-t-on ajouté de même source. Le quartier de la Reynerie avait été le théâtre, l’été 2016, de deux règlements de comptes liés au trafic de stupéfiants.

Viols en réunion dont celui filmé d’une mineure sous curatelle renforcée : des Toulousains et un Tunisien condamnés

$
0
0

Mercredi soir, trois hommes, deux Toulousains et un Tunisien ont été condamnés par la cour d’assises des mineurs de la Haute-Garonne à de la prison ferme pour viol simple et viol en réunion. Les accusés et victimes étant pour la plupart mineurs au moment des faits, leur procès s’est déroulé à huis clos. L’un des accusés, avait filmé une scène de viol avec son téléphone portable.

Les faits remontent aux mois de janvier et février 2013. Une première jeune fille, placée sous curatelle renforcée, avait été victime d’un viol filmé et commis en réunion dans la cave d’un immeuble, à Toulouse, non loin de la station de métro Mermoz. Quelques semaines après, une seconde jeune fille avait été violée, par l’un des garçons qui avait déjà pris part au viol précédent.

Mercredi soir, après en avoir délibéré, la cour d’assises des mineurs a livré son verdict : le jeune homme qui était impliqué dans les deux viols, déjà placé en détention pour non-respect de son contrôle judiciaire, a écopé de 6 ans de prison ferme, celui impliqué dans le viol en réunion à 4 ans, et celui qui avait filmé les faits, à 2 ans de prison. Des peines supérieures à celles requises par l’avocat général, David Sena, qui lui, avait ouvert la porte à du sursis avec mise à l’épreuve. Lors de l’instruction, les trois hommes avaient nié les faits. (…)

La Dépêche

Merci à Marie Salers


Toulouse (31) : Deux morts dans une rixe entre SDF, l’un d’eux aurait été égorgé

$
0
0

Deux morts devant la gare en plein après-midi. C’est le terrible bilan d’une rixe sanglante qui s’est déroulée en plein jour, ce lundi, devant la gare Matabiau, à Toulouse, très fréquentée en raison des premiers départs en vacances.


Un grand nombre de policiers, des pompiers et des médecins du Samu se trouvent ce lundi après-midi, boulevard de Bonrepos, face à la gare Matabiau, à Toulouse. C’est là qu’une rixe entre deux hommes a éclaté avant de vite dégénérer.

Les deux hommes sont décédés de suites de leurs blessures. Les policiers municipaux sont intervenus les premiers sur les lieux de la rixe et ont découvert les corps des deux hommes. L’un d’eux aurait été égorgé. Ils ont eux aussi tenter de prodiguer des premiers soins mais en vain.

Lieu de transactions de produits stupéfiants entre bandes

Les faits se sont produits peu avant 16 heures. Les victimes, qui étaient toutes deux sans domicile fixe, avaient été grièvement blessées, notamment au cou.

Les secours ont tenté de les réanimer durant de longues minutes. Selon des témoins qui fréquentent le secteur de la gare, les lieux des faits sont connus pour abriter des points de deal et de transactions de produits stupéfiants entre bandes.

Les motifs exacts de la rixe ne sont pas encore connus. Un différend lié à ce type de trafic est-il à l’origine de cette dramatique bagarre ? Une machette aurait été utilisée au cours de cette rixe. Le second agresseur était armé d’un couteau.

ladepeche.fr

 

Kebabs, boucheries halal… La mairie de Toulouse s’attaque aux « commerces communautaires »

$
0
0

C’est ce qu’on appelle ne pas y aller avec le dos de la cuillère. Jean-Jacques Bolzan, adjoint au maire de Toulouse, entend mettre un frein au développement des « commerces communautaires ». L’élu vise notamment le quartier Arnaud-Bernard, ses kebabs et ses boucheries halal.

Jean-Jacques Bolzan : « L’objectif de la mairie est de pouvoir orienter l’activité commerciale pour dynamiser, diversifier et renouveler l’offre de commerces. Dans le quartier Arnaud-Bernard, par exemple, il y a un nombre important de ‘commerces communautaires’ avec la présence de boucheries halal et de kebabs. L’opération ‘Commerce d’avenir’ permet d’apporter un peu de diversité : des commerces complémentaires à l’offre déjà existante ».

(…) Actu.fr

Toulouse (31) : des policiers attaqués au couteau lors d’une intervention pour un cambriolage dans la cité du Mirail

$
0
0

Dans la nuit de samedi à dimanche, vers 1h20, deux équipages de la BAC du Mirail et du centre ont été appelés dans le quartier du Busca, rue Desprez, à Toulouse, pour intercepter des cambrioleurs en action.

Dès leur arrivée sur les lieux, alors qu’ils pénétraient dans une maison mitoyenne dont la fenêtre du rez-de-chaussée était fracturée, deux policiers ont été pris à partie par deux individus.

L’un d’eux, armé d’un couteau a porté un coup au niveau du thorax d’un des policiers, heureusement protégé par son gilet pare-balles, puis lui a donné un second coup de couteau au niveau de sa jambe gauche provoquant ainsi une importante plaie saignante à la cuisse. Un autre fonctionnaire de police a été touché à la main…

La Dépêche

Merci à patriote

Toulouse (31) : tentative de meurtre sur des policiers, 2 gardés à vue

$
0
0
Deux hommes, soupçonnés de tentative de meurtre sur des policiers lors d’un cambriolage, dans la nuit de samedi 24 à dimanche 25 février à Toulouse, ont été placés en garde à vue et doivent être déférés au parquet lundi, a annoncé ce dernier dans un communiqué. « Une information judiciaire sera alors ouverte afin de poursuivre l’enquête sous l’autorité d’un juge d’instruction. Des réquisitions de mandat de dépôt seront présentés« , note le communiqué du procureur de la République de Toulouse, Pierre-Yves Couilleau.

« Les faits correspondent à ce stade de la procédure à un crime de tentative de meurtre sur personne dépositaire de l’autorité publique en lien avec la commission d’une tentative de vol avec arme. Ce crime fait encourir à leurs auteurs une peine maximale de réclusion criminelle à perpétuité« , précise le communiqué.

Alors qu’ils intervenaient sur les lieux d’un cambriolage, quatre policiers ont vu surgir deux individus, le premier portant immédiatement un coup de couteau au niveau du thorax d’un des fonctionnaires, protégé par son gilet pare-balles, relate le communiqué. L’homme lui assénait alors un second coup de couteau au niveau de la jambe gauche provoquant ainsi une importante plaie à la cuisse.

Dans le même temps, le deuxième malfaiteur portait des coups de poing à un autre policier. Les deux hommes ont finalement été maîtrisés et placés en garde à vue. Le porteur du couteau, dont la lame mesurait 21 cm, est un étranger de 23 ans, sans domicile fixe, connu des services de police pour un précédent vol commis en région parisienne. Le deuxième malfaiteur est un Français de 33 ans, domicilié à Toulouse.
Le policier blessé à la jambe a été hospitalisé pendant quelques heures. L’enquête a été confiée à la Sûreté départementale de Toulouse.

Midi Libre

Merci à Marie Salers

Toulouse (31) : l’aéroport ne passera pas sous pavillon chinois

$
0
0
À Toulouse, en Haute-Garonne, l’aéroport restera Français. Les élus locaux se battent pour que la France conserve la majorité des parts.

Vol de téléphones portables à Toulouse : 4 ans de prison pour l’agresseur, un migrant clandestin congolais

$
0
0
L

C’est devenu un sujet récurrent : les vols de téléphones portables. Jeudi, devant le tribunal correctionnel de Toulouse, un homme de 30 ans a été condamné à 4 ans de prison.

C’est d’ailleurs à ce sujet qu’un homme de 30 ans vient de comparaître devant le tribunal correctionnel de Toulouse. Du 26 juillet 2017 au 11 janvier 2018, cet homme d’origine congolaise a dérobé plus de 9 téléphones portables. Des vols simples parfois aggravés avec des scénarios similaires et une seule et même cible : les femmes. Bien souvent, à proximité des stations de métro, c’est à bord de son vélo, capuche sur la tête, qu’il venait arracher le sac à main de ses victimes. Il récupérait les téléphones portables – de marque Samsung de préférence – parfois les cartes bancaires et prenait la fuite. Ils en gardaient quelques-uns, en revendaient d’autres, entre 100 et 150 € «au black» ou dans une boutique.

Mais parfois, pour arriver à ses fins, le voleur se montrait plus virulent. «Je marchais dans la rue avec une amie. D’un coup, il est arrivé derrière moi, il a mis sa main sur ma bouche comme pour me faire taire et m’a plaqué au sol. Puis, il est parti avec mon sac», a expliqué une des victimes à la barre, encore traumatisé par ce moment.  (…)

Toulouse (31) : enquête ouverte après un cas de harcèlement dans un bus


Toulouse : des heurts éclatent entre des policiers et « une centaine de personnes » au Mirail

$
0
0

 

Un policier a été blessé en marge d’une interpellation survenue dans le quartier de la Reynerie, à Toulouse, lundi 19 mars 2018. En fin d’après-midi, vers 18h15, les fonctionnaire de police de la BST Mirail tentent de procéder à l’interpellation d’un individu soupçonné de trafic de stupéfiants, au cheminement Louis Auriacombe.

Une « centaine de personnes » s’en prennent aux policiers

Le dealer présumé traverse alors un marché illégal, situé rue de Kiev et fréquenté par de nombreuses personnes, qui s’en sont pris violemment aux policiers qui procédaient à l’interpellation de l’individu. Des cailloux et toutes sortes de projectiles, comme des fruits et légumes ont été jetés en direction de l’équipage de police. D’après le syndicat Unité SGP, « une centaine de personnes hostiles s’opposaient à l’interpellation ».

Grenades lacrymogènes utilisées

L’arrivée rapide de renforts a permis aux policiers de se dégager, en nécessitant l’usage de moyens de riposte et désencerclement. Trois grenades lacrymogènes ont été utilisées. Malgré ce contexte très difficile pour les forces de l’ordre, l’individu a néanmoins pu être arrêté. Aucune interpellation n’a en revanche eu lieu parmi les personnes auteures de ces violences urbaines.

D’après nos informations, au cours de cette intervention qui aurait pu mal tourner, un policier de la BST a été légèrement blessé au tibia. (…)

L’article Toulouse : des heurts éclatent entre des policiers et « une centaine de personnes » au Mirail est apparu en premier sur Fdesouche.

Toulouse (31) : vols, violences et agression sexuelle à la prairie des Filtres, 8 jeunes interpellés dans plusieurs quartiers dont celui du Mirail

$
0
0

Sept individus vont être déférés au parquet de Toulouse, jeudi 22 mars 2018, suite à des faits de vols avec violences et d’agression sexuelle, commis à la prairie des Filtres. Les enquêteurs de la brigade criminelle de la sûreté départementale ont résolu une affaire de grande ampleur, ces derniers jours, à Toulouse. Huit individus ont […]

L’article Toulouse (31) : vols, violences et agression sexuelle à la prairie des Filtres, 8 jeunes interpellés dans plusieurs quartiers dont celui du Mirail est apparu en premier sur Fdesouche.

Toulouse : bloquée depuis trois mois par l’extrême-gauche, l’université Jean-Jaurès est placée sous tutelle

$
0
0

Totalement bloquée depuis trois semaines par des étudiants et des membres du personnel, l’université Jean-Jaurès de Toulouse vient d’être mise sous tutelle par le ministère. […] Comme le lui permet un article du Code de l’éducation en cas de dysfonctionnements graves, Frédérique Vidal a dissous ce mardi l’ensemble des conseils de l’établissement, y compris le […]

L’article Toulouse : bloquée depuis trois mois par l’extrême-gauche, l’université Jean-Jaurès est placée sous tutelle est apparu en premier sur Fdesouche.

Les 2/3 des attentats en France depuis 2012 ont été commis par des Fichés S et la moitié par des personnes déjà condamnées

Toulouse (31) : des panneaux anti-djihadistes installés autour de la ville par des identitaires

$
0
0

Génération Identitaire est un mouvement qui s’est implanté à Toulouse et dont les membres ont décidé de mener ces dernières semaines des actions « contre le retour des djihadistes » dans la ville rose. Dernière opération en date : ils ont installé des panneaux où le mot jihadistes est barré, à plusieurs entrées de la capitale régionale. […]

L’article Toulouse (31) : des panneaux anti-djihadistes installés autour de la ville par des identitaires est apparu en premier sur Fdesouche.

Viewing all 291 articles
Browse latest View live


<script src="https://jsc.adskeeper.com/r/s/rssing.com.1596347.js" async> </script>